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 Jade (+) les titres ne sont pas utiles.

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MessageSujet: Jade (+) les titres ne sont pas utiles.   Jade (+) les titres ne sont pas utiles. EmptyMer 1 Mai - 11:37

Jade Shannon Nolans-O'Maley

J'me présente, je m'appelle Henri...

Bonjour à toi ô grand peuple de Dingo Street ! Donc, je me présente, moi c'est Jade, et vu qu'on est intimes, toi et moi, tu peux m'appeler J., c'est pas plus mal ! Puis que tu tiens tant à le savoir, j'ai 25 ans, bah oui, je suis née le 12 août 1987. D'ailleurs, sache que je suis originaire de New-York. Au fait, je dois t'avouer quelque chose de plutôt privé... je suis hétérosexuelle, y aurait-il, éventuellement, des intéressés ? Oui, je suis mariée. On dit souvent que je suis gentille, douce, généreuse, mais aussi têtue, impatiente & nerveuse, c'est d'ailleurs peut-être pour cela que j'exerce le métier de hm, héritière, dirons-nous. Et puis... Je ne suis pas chez les la normalité c'est un peu pas pour eux pour rien, hein ! Sinon, on me compare souvent à Candice Swanepoel.. Vous trouvez que je lui ressemble, vous ?


Si un de tes voisins se pointe chez toi, tout sourire, rentre dans ton humble demeure sans invitation, et veut te piquer ton tout dernier ©️kinder bueno, comment tu réagis ?

Très mal, évidemment ! Déjà, on ne rentre pas chez les sans invitation, c’est un manque de politesse et on ne pique pas les affaires des autres. Du coup, je pense que je le mettrais dehors illico presto.


Si des gens se mettent à danser tous en même temps devant toi dans les locaux de ton assurance, tu fais quoi ? Tu les rejoins ? Tu les regardes d'un air hautain ? Ou tu prends la fuite comme un dératé ?

Alors déjà, je penserais que faire la fête dans une assurance, ce n’est pas très normal... Mais comme je ne le suis pas vraiment, je pense que j’irai me joindre à eux. Ça peut être amusant, j’sais pas.


Si tu te retrouves face à face avec un loup (ou un voleur, appelons-le comme on le veut), t'as suffisamment de forces pour le combattre ou tu as oublié tes trois produits laitiers par jour ?

Hum, je pense que je hurlerait (si, ça peut être une très grande arme de défense quand on a la voix qui porte assez). Non franchement, je ne suis pas assez forte physiquement pour combattre quelqu’un, encore plus si c’est un homme.


©️Red Bull te donne des ailes ou tu n'as pas besoin de ça ?

J’ai pas franchement besoin de cette boisson pour que des ailes poussent dans mon dos, mais après, pourquoi pas ? Chacun a sa vision des choses ! On plane comme on veut.


Selon toi, c'est quoi le pire : mourir ou se faire expulser de l'immeuble pour mauvaise conduite ?

Se faire expulser serait dommage. Le coin est plutôt sympathique et y a des gens dingues qui me font bien rire. Mais mourir serait quand même le pire.


Tu préfères quand, dans l'immeuble, c'est un peu trop plus moins calme, ou quand c'est un peu trop beaucoup pas du tout calme ?

Je dirais... un peu des deux ! C’est bien parfois quand c’est calme, mais c’est bien aussi quand ça l’est pas du tout. Après tout, on est jeune, faut bien qu’on s’éclate et qu’on profite pleinement !


Quand t'entends du Chopin, tu reconnais la mélodie ou tu penses immédiatement à la musique des Assedic ?

Les quoi ? Assedic ? Mais c’est quoi cette chose ? Je ne connais pas, alors je pense que je reconnais directement du Chopin, quand même... Façon, j’ai pas trop le choix.


J'voudrais bien réussir ma vie, être aimé(e)

WESH les petits lapins ! Aloooors, sachez que sur le web, je suis connue sous le pseudo de PUNK.LETO, ouais, je sais, c’est trop la classe. Jade (+) les titres ne sont pas utiles. 949729897 J’ai déjà vingt-deux années au compteur et je le vis pas du tout très bien. Jade (+) les titres ne sont pas utiles. 1696396625 Comme vous vous en doutez, je trouve que le forum est trop bandant. Si si, c’est vrai ! J’ai débarqué dans le coin parce que la divine Morphine m’a proposé de faire partie de l’équipe alors forcément, je suis viendue, quoi. Jade (+) les titres ne sont pas utiles. 3504628956 Moi, l’code du règlement, j’le connais, mais j’le dirais pas, ah ah ! Sinon, j’vis pas loin d’la planète MARS Jade (+) les titres ne sont pas utiles. 738431593 et c’est plutôt cool comme coin. Voilà, je crois que c’est tout. Oh, et j’adore faire la danse du lapin. Jade (+) les titres ne sont pas utiles. 1404963286


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Invité
MessageSujet: Re: Jade (+) les titres ne sont pas utiles.   Jade (+) les titres ne sont pas utiles. EmptyMer 1 Mai - 11:38

This is my story

Que je raconte mon histoire ? Pas de problème. Il semblerait que je sois une adepte du blablatage inutile. D’ailleurs, les gens disent souvent que je parle beaucoup trop et que je parle pour pas dire grand chose, finalement. Il est vrai que parfois, je raconte n’importe quoi, mais c’est indépendamment de ma volonté. C’est comme si je ne pouvais pas me contrôler. Je sais, cela paraît fou, mais c’est vrai ! Voyez, je recommence...

Lorsque je suis venue au monde, mes parents vivaient encore à New-York. Ma mère trouvait cette ville charmante et adorait y être. Elle disait qu’elle y piochait toute son inspiration pour ses romans. Mon père, lui, n’était pas toujours à la maison puisqu’il bossait souvent ailleurs. Une chose qu’on ne pouvait pas lui reprocher, puisqu’il est archéologue. J’adore son travail. Depuis toujours, je le trouve courageux de faire ce boulot. Je l’admire vraiment. Mais en réalité, je suis fière de mes deux parents qui sont des personnes extraordinaires. Mon enfance ressemblait vraiment à un conte de fées. J’étais une petite fille très souriante et serviable, et je possédais déjà ce petit grain de folie qui faisait toujours rire mes parents. Je me déguisais tout le temps avec les vêtements de ma mère et faisait des défilés dans le salon. J’apportais la joie et la bonne humeur. Mais, mes parents voulaient que j’ai un petit frère ou une petite sœur. Tous deux enfants uniques, ils ne voulaient pas que je vive la même chose. Il semblerait qu’ils en aient tous deux vraiment souffert. Malheureusement, maman ne pouvait plus avoir d’enfants. Ils l’ont appris un peu brusquement, mais ils n’avaient jamais été du genre à se morfondre durant des années. Dès lors, ils avaient entrepris des démarches pour adopter un enfant. Ils ne souhaitaient pas forcément un bébé de quelques mois. Ils voulaient simplement rendre heureux un enfant, et ce, même si il était déjà plus âgé.

Aussi, l’année de mes sept ans, nous avons tous accueillis avec joie le petit Joshua qui était âgé de quatre ans. Il était tellement mignon et tellement petit. J’avais mon petit frère et je me sentais déjà l’aise dans mon rôle de grande sœur qui devait protéger coûte que coûte ce bambin. La même année, nous avions quittés New-York pour nous rendre à Austin au Texas. Une autre ambiance. Une nouvelle ville pour une nouvelle vie. Je n’avais eu aucun problème d’adaptation. Même toute jeune, j’adorai l’idée de faire de nouvelles connaissances et découvrir de nouveaux endroits. Je suis tombé amoureuse de cet endroit. C’était mon nouveau terrain de jeu, mais les gens étaient vraiment différents par rapport à ceux de mon New-York natal. Mais, il fallait bien que je m’intègre, alors je faisais tous les efforts du monde, sans pour autant mettre de côté ma personnalité. Je ne voulais pas être différente de la personne que j’avais toujours été. Et puis, ma mère me disait toujours que pour être accepter, il fallait être soi-même. Une chose que je faisais et que je fais toujours à la perfection !

Au fil du temps, tout se passait toujours aussi bien. J’avais la chance de vivre dans une famille unie où nous étions toujours présent les uns pour les autres. Même si mon père n’était pas souvent à la maison, il prenait le temps de téléphoner et racontait toutes ses journées. Maman s’arrangeait toujours pour faire la promotion de ses romans durant les vacances afin que nous puissions être avec elle. Elle ne voulait surtout pas que Joshua et moi soyons élevés par des nourrices. Ce n’est pas l’image qu’elle voulait que l’on ait d’elle. Je grandissais et je voyais le monde qui changeait tout le temps. Il me prenait parfois l’envie de faire le tour du monde. Je m’imaginais dans chacun des pays, dans toutes les capitales du monde et cela me faisait rêver. Mais j’étais bien trop jeune et la réalité du collège me rattrapait trop rapidement puisque je croulais sous les devoirs. Comme la majorité des enfants, je n’aimais pas vraiment cela. Une chance que ces années passaient toujours rapidement.
Mais une fois au lycée, les choses paraissaient plus compliquées pour moi. Non pas que j’avais des difficultés en cours, je m’en sortais très bien. Mais, c’était le moment des remises en questions et il fallait faire des choix en ce qui concernait un avenir qui se rapprochait trop rapidement à mon goût. J’avais dix-sept ans et je ne savais toujours pas ce que j’allais faire de ma vie. Et je voyais Joshua qui, du haut de ses quatorze ans, avait déjà mille et un projets de secours dans le cas où il ne réussirait pas son objectif principal. Cela me faisait sourire, mais je me demandais sans cesse pourquoi je n’étais pas comme lui. La seule chose qui me faisait envie était toujours ces idées de voyage partout dans le monde, mais je ne pouvais pas le faire de suite. Je ne pouvais pas prendre cette décision alors que j’étais encore lycéenne. Même si cela me tentait plus que tout, il fallait bien que j’obtienne des diplômes pour plus tard, lorsque je commencerais à être dans la vie active. Même si je savais très bien que mes parents seraient toujours là, je voulais être indépendante. Mais, même si je le souhaitais plus que tout, mon caractère faisait que je n’arrivais pas à prendre la moindre décision concrète. Je laissais le temps faire les choses et peut-être que je trouverais ma voie dans quelques mois.

Et finalement, après la fin du lycée et après obtention de mon diplôme, j’ai été admise à la fac de médecine. Mes parents étaient tellement fiers, tellement heureux de ce choix. Je l’étais aussi sur le moment. Mais une fois bien mise dans les cours, je me rendais compte de la difficulté que cela impliquait. Des horaires catastrophiques, des cours à en perdre la tête et des noms sortis de nul part qu’il fallait retenir. Je me perdais dans tout cela et je ne me sentais pas à l’aise. Je ne suivais pas vraiment le rythme, très vite, j’avais été débordée. La fatigue s’accumulait tellement que je m’endormais souvent sur mes livres, assise à mon bureau. Pourtant, je voulais vraiment le faire, mais il semblerait que j’étais bien trop rêveuse pour cela. J’ai tenu quelques années avant de tout plaquer. Mes parents ont été les premiers à être mis au courant. J’avais eu une longue, très longue discussion avec eux et par chance, ils avaient compris. Ils voyaient bien que je n’étais plus aussi bien qu’au tout début de mes études. C’est ainsi que j’ai plaqué la fac et qu’avec les encouragements de mes parents, j’ai entrepris mon tour du monde. Ce rêve allait être une réalité.

Mon tour du monde, je le voulais simple. Je ne voulais pas être la petite fille riche qui dormirait dans des hôtels toutes les nuits et qui prendrait l’avion pour changer de pays à chaque fois. En fait, je n’avais presque rien en poche, lorsque je suis partie de chez moi. En tout premier lieu, je voulais voir l’Europe. La France, l’Italie, l’Espagne, l’Angleterre. J’en rêvais depuis tant d’années que cela avait été tellement émouvant d’y être enfin. Je profitais de chaque instant, de chaque minute avec toutes ces personnes qui m’apprenaient beaucoup. Je ne voulais pas être simplement la petite étrangère qui faisait un tour dans le coin. Je prenais le temps d’apprendre quelques mots, je me plaisais à vivre comme eux, avec leurs habitudes. Je découvrais des cuisines différentes, des manières de vivre à l’opposé de celle que j’avais connu. Je faisais même quelques petits boulots, histoire de me mettre un peu d’argent de côté. L’Irlande, l’Écosse. Dieu que j’aimais ces endroits. Tellement plus calme que Austin, cela ne faisait aucun doute. Je trouvais l’Europe magnifique et les gens paraissaient être tellement plus classe que certains habitants des États-Unis que cela me changeait énormément.

Une année plus tard, je faisais un retour chez moi, pour l’anniversaire de mariage de mes parents. Un moment que je n’aurai raté sous aucun prétexte. Et puis, être de nouveau chez moi me donnait envie de mieux connaître le pays dans lequel je vivais. Je n’avais pas été partout et je pense que l’occasion qui se présentait était bonne. Je suis resté quelques jours chez mes parents avant de reprendre la route avec mon sac. Ils comprenaient et Joshua enviait même ma condition. Il gardait précieusement toutes les cartes que j’envoyais à chaque déplacement. Au moins, ils savaient toujours où je me trouvais. Et c’est ainsi que je suis partie à la conquête des États-Unis... du moins, c’est une façon de parler.

Et c’est là, où j’ai fais sa connaissance. Je me trouvais dans le Nevada, je faisais route à pied et je faisais du stop. Il faisait atrocement chaud et j’avais l’impression que j’allais perdre la vie à tout moment. Le soleil frappait beaucoup trop fort sur ma pauvre tête. Une voiture s’était arrêtée, je ne me suis pas fais prier, je suis monté sans plus attendre. J’avais un peu forcé les présentations. Il s’appelait Zéphyr. Un prénom qui m’avait fait sourire puisque je le trouvais original. Mais le jeune homme ne semblait pas très bavard, au contraire, il ne décrochait pas beaucoup de mots. Du coup, je m’étais mise en tête de faire la conversation par tous les moyens... Chose réussie puisque j’avais fais le monologue le plus long de toute ma vie. Je lui avais tout raconté de ma vie, dans les moindres détails. Je lui racontais même la période où j’avais pris des options inutiles au lycée et où je me suis retrouvé dans des tas de clubs dont je ne connaissais pas l’existence auparavant (ma curiosité me perdra toujours). Enfin bref, je parlais, je racontais ma vie et nous étions arrivés à Las Vegas. Nos routes allaient être séparés. Nous avions simplement échangés nos numéros, rien de plus. Durant tout ce trajet, je n’avais tiré de lui que son prénom. Une bien maigre victoire, j’en conçois.

J’étais faible. J’étais curieuse. Rha, j’étais obsédée par cet homme. Non pas d’une manière que l’on imagine, mais parce que je le trouvais mystérieux et intriguant. Il cachait tellement de souffrance en lui, qu’en y repensant, cela me faisait mal. Il pouvait bien sourire, cela ne changeait rien à ce que je lisais dans son regard. Un regard ne trompe jamais, tout le monde est au courant. Aussi, je l’avoue, je l’ai rappelé. Il le fallait. Je devais satisfaire ma curiosité et je devais en apprendre davantage sur ce Zephyr. Nous avions convenu d’une date, et une semaine plus tard, on se retrouvait tous les deux à Las Vegas. J’avais une idée précise en tête ; le faire boire afin qu’il me raconte sa vie. Je sais, ce n’est pas très élégant comme manière de faire, mais je ne savais pas quoi faire d’autre. Mais, dans ce bar, je me suis rendue compte qu’il tenait étrangement bien l’alcool. Je le faisais boire, je lui offrais des verres, mais rien à faire, il ne disait toujours rien ! Moi, je commençais à perdre le fil et je racontais des conneries aussi grosses que moi. Je ne tenais vraiment pas bien l’alcool. Et comme dans toutes les cuites, à un moment, nous connaissons ce fameux trou noir jusqu’au petit matin. Un matin douloureux qui rappel très bien les dégâts de l’alcool. Un mal de crâne pas possible, la bouche sèche et pâteuse. En bref, rien de très glamour, surtout lorsqu’on se réveille dans le même lit qu’un homme ! Mais par chance, j’étais encore habillée... Mais le pire, ce sont les souvenirs qui remontent lentement mais sûrement à la mémoire. Les flash qui s’imposent comme des évidences. Ceux qui font comprendre que le pire n’est pas passé, mais qu’il est à venir. Tout se rappelait à moi, absolument tout. La tournée des bars, qui avait eu cette idée merdique, hein, qui ? Je ne le savais même plus. Et hop, un petit tour en boite de nuit, histoire de s’amuser un petit peu et décompresser après toutes ces journées. Et on rajoute quelques doses d’alcool dans le sang, bien évidemment. Et puisqu’on se trouvait à Las Vegas, autant faire un tour dans le casino. Une soirée qui s’annonçait riche en rigolade. D’ailleurs, ce fut le cas. Je me souvenais parfaitement des fous rires que nous avions, même lorsqu’on perdait. L’alcool fait vraiment des ravages. Et pour sûr, on termine obligatoirement par une chapelle... La chapelle. Le moment le plus difficile des souvenirs. C’est lorsqu’on se souvient que la veille au soir, on a épousé un parfait inconnu dont on ne connait grosso modo, que le prénom et l’âge et quelques informations inutiles et futiles. Mais pire encore ? C’est lorsque ce « mari » prend brusquement la fuite. Bon, faire une connerie à Las Vegas, beaucoup de personnes le font, tout le monde le sait parfaitement. Mais l’important est d’y mettre un terme, non ?

Du moins, il faudrait, mais lorsque le nouvel époux ne répond plus aux appels, cela complique fortement les choses. Ou alors, ce qui complique encore plus la situation est de se rendre compte que l’on est vraiment attachée à cet homme ? Dieu que je suis dans la merde... Je n’y peux rien moi, si je me suis attachée à son côté mystérieux et à son air absent. Ce n’est pas de ma faute si brusquement, j’ai toujours envie de le faire rire ou sourire. Alors, il fallait bien que je fasse quelque chose, pas vrai ? Ma décision a été de prendre cette pièce d’identité qu’il avait probablement oublié ou tout simplement perdu et réfléchir à ce que j’allais faire. Devais-je le rejoindre ? Devais-je mettre le bordel dans son existence, alors que celle-ci semblait déjà bien compliquée ? Mais nous étions mariés et cela posait forcément un gros problème... Alors, j’ai interrompu mon tour du monde et j’ai pris la décision de me rendre à New-York. Cela m’avait fait sourire... Après toutes ces années, je remets enfin les pieds dans ma ville natale. À croire que cette ville me porte bonheur, du moins, je l’espère. Maintenant, ne me reste plus qu’à dire à Zephyr que nous sommes mariés.


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